Le blog-notes mathématique du coyote

Le classement Glicko et le classement Glicko-2 sont des méthodes de mesure de la force de joueurs dans les jeux de réflexion tels les échecs ou le go. Le classement Glicko a été inventé par le professeur Mark Glickman dans le but d'améliorer le système de classement Elo, et d'abord comme système d'évaluation de la force aux échecs. Sa caractéristique principale est de tenir compte de la fiabilité du classement avec un paramètre RD (pour rating deviation, écart type du classement).

Lire l'article de Mark Glickman

Ils ont dépensé un million et demi dans des dizaines de bureaux de tabac romands et leur stratégie a fonctionné: un groupe a mis la main sur le jackpot du Joker de la Loterie romande et a empoché le double de la somme investie.

Lire l'article d'Alexandre Cudré sur Watson

Suite à des découvertes archéologiques, des pierres gravées, des illustrations, des peintures et des textes, les chercheur.euse.s ont mis en évidence des liens entre les abaques et le jeu du Pente Grammai. Les abaques étaient des pierres gravées de 5 lignes qui permettaient de calculer avec des jetons. Ces cinq lignes étaient aussi représentées pour le jeu du Pente Grammai sur lequel on déplace des jetons.

Voici 2 installations interactives tactiles réalisées par l'artiste NOTsoNOISY Guillaume Reymond. Elles sont présentées dans l'exposition "De la case au pixel" au Musée Suisse du Jeu en 2024-2025. Ces 2 jeux (applications web en javascript) ont été développés pour présenter au public les travaux de recherche de Véronique Dasen (Université de Fribourg), Jérôme Gavin (Collège Voltaire) et Selim Krichane (Musée Suisse du Jeu). Ce projet est soutenu par le programme Agora du Fond National Suisse.

Si vous voulez gagner à la loterie, l’IA peut vous aider. C’est du moins ce que montre un exemple venu d’Italie.

Lire l'article sur Watson

De nombreux jeux de société anciens ont été découverts, mais il n’existe généralement aucun manuel de règles, ce qui nous empêche de savoir comment y jouer. L’un de ces jeux a été trouvé dans les années 1970 lorsque des archéologues qui fouillaient le cimetière de l’âge du bronze de Shahr-i Sokhta, dans le sud-est de l’Iran. Ce jeu de société vieux de 4 500 ans, enterré dans une tombe richement décorée, a captivé l’imagination des chercheurs (et des amateurs de jeux de société) pendant des décennies. Aujourd’hui, des outils modernes et des analyses interdisciplinaires lèvent le voile sur la manière dont ce passe-temps ancien aurait pu être pratiqué.

Lire l'article de Julie Durand sur SciencePost

Mettez des pierres, des papiers et des ciseaux dans une arène. Quand ils se touchent, un combat s'engage et le vaincu est assimilé au vainqueur. A la fin, qui gagne ? Le plus simple est de simuler tout cela...

Benjamin Bergé et Henri Degueldre ont décidé de créer des jeux de société. Six d’entre eux sont prêts à franchir le cap de l’édition. Les deux enseignants de mathématiques se sont rendus en février dernier au Salon du jouet à Nuremberg et y retourneront l’an prochain.

Lire l'article de Maxime Rérat sur lqj.ch

Le morpion, jeu bien connu depuis les bancs d'école, ne recèle plus vraiment de secret : on sait que cela se terminera toujours par une partie nulle si aucune erreur n'est commise. Pour autant, il existe des généralisations naturelles de ce jeu qui gardent encore une grande part de mystère, même pour les chercheurs et chercheuses en informatique et mathématiques. On vous explique lesquelles.

Lire l'article d'Eric Duchene & Aline Parreau sur Interstices